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Forum Montignac

Psychologue Montignac

L'influence de notre enfance sur notre vie actuelle

Les messages postés sur ce forum représentent l’opinion individuelle de Membres qui suivent la Méthode Montignac. Ils ne sont aucunement représentatifs de l’opinion de Sybille Montignac, ni des pratiques commerciales de la Méthode Montignac ou de la société ANXA.
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par Sylviane (PESSAC, 33) Posté le 11-08-2009 à 07:29

Cette influence est considérable !

Admettons que notre personnalité soit une maison. Toute maison, pour conserver sa solidité à travers les âges, a besoin de fondations solides. Ces fondations correspondent à toute la période de l'enfance. Si cette période est marquée par des évènements traumatisants, cela va se répercuter sur les fondations qui ne vont pas être aussi solides qu'elles auraient dû l’être. Ainsi, en construisant les murs (l'adolescence puis la vie adulte), il peut se présenter à l'occasion de secousses (nouveaux évènements traumatisants) des fissures visibles ! Et cela peut s'inscrire sur nos comportements ou sur notre corps.

Afin de consolider ces fissures, il faut "réparer" les fondations. C'est le travail thérapeutique !

Nos choix alimentaires sont aussi liés à notre passé dans les mêmes conditions : si un aliment a été consommé la première fois dans un climat convivial, chaleureux et aimant, il conservera pour toujours la même connotation. L'inverse est également vrai.

Si nous sommes attirés par les aliments sucrés à la moindre contrariété, c'est aussi parce que, en général, dans notre enfance, chaque fois qu'on avait un petit bobo, on nous faisait un gâteau pour nous consoler. Ou si nous avions été sages, nous avions droit à une sucrerie...

Sylviane LIBERGE
www.consultations-psychologue.com
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Toutes les réponses à ce message :

Sylviane (PESSAC, 33) répond Posté le 01-09-2009 à 12:40
LILINE : des traumatismes infantiles peuvent effectivement faire obstacle à une perte de poids, surtout si les kilos en trop sont vécus comme une protection, une carapace contre ce qui fait mal. Ensuite, il y a un travail sur soi à faire pour réagir en adulte et non plus en enfant meurtri (c'est-à-dire se conformer à ce que notre entourage à fait de nous). C'est se libérer. Un peu comme la chenille qui se transforme en papillon :)


Sylviane (PESSAC, 33) répond Posté le 01-09-2009 à 12:40

ANNICK : comment va ta maman ?


Sylviane (PESSAC, 33) répond Posté le 01-09-2009 à 12:40

BETTYDUF : il n'y a pas de mode d'emploi du "parent modèle" (et tant mieux). On essaie de faire du mieux que l'on peut avec ce que l'on a. On fera toujours des erreurs (le plus minimes possibles). Mais c'est aussi ce qui permettra à nos enfants de faire mieux que nous :) (et c'est moins angoissant pour eux que d'avoir le sentiment d'avoir des parents parfaits). Le dialogue est ESSENTIEL, ainsi que l'écoute. Ensuite, on s'adapte comme on peut !


mathéa (30) répond Posté le 01-09-2009 à 10:22
Peut-être que nous stockons cette graisse parce que nous pensons manquer de cet amour si fortement désiré et toujours décevant ?
Hors le seul amour jamais décevant n'est pas celui qu'on reçoit mais celui qu'on donne et , avant, celui qu'on se donne !
Si on arrivait à croire que notre personne existe, belle , sans passer obligatoirement par le regard des autres, on irait plus loin dans la perte de poids !
Moi, je ressens pour vous dans ce forum une profonde estime et j'admire votre courage d'ouvrir ainsi les yeux sur ces difficultés , semble t-il, inévitables ...Nous sommes debout, lucides :tout le monde n'en est pas là !

mam (60) répond Posté le 01-09-2009 à 00:07
Eh oui, c'est la loi, chacun traine "ses casseroles " comme tu le dis si bien, Betty, l'idéal serait de les alléger.
Peut être qu'en perdant nos kilos, elles vont se vider.
On peut toujours l'espérer, mais le plus important même si elles sont toujours aussi pleines ce sera d'avoir des kilos en moins.
Courage.

quillou répond Posté le 31-08-2009 à 23:33
betty, ta dernière phrase va rester en moi, elle est si belle

BETTY (58) répond Posté le 31-08-2009 à 21:20
moi aussi j'ai toujours pensé et d'ailleurs je le pense toujours que ma mére a toujours préférées mes soeurs
je suis l'ainée de trois fille et j'ai toujours été le vilain petit canardmai
pour ma mére j'etais toujours celle qui m'entais je prennais toujours pour les bétises de mes soeurs et j'étais toujours la bonne a rien
j'ai coupés les ponts avec elle pendant plusieurs années mais elle a finie par me rappeler
aujourd'hui nous avons des relations a peut prés normal mais il ne faut surtout pas quelle me parle du passé et il ne faut pas non plus quelle me dise qqch sur la facon que j'ai d'élever mes enfants car sa aurais vite fais de partir en "live"
mais voila nous avons tous nos casseroles que nous cachons dérriére nos kilos


laurent (lyon, 69) répond Posté le 31-08-2009 à 20:10
Tout comme on est pas obligé d'aimer ses parents, les parents n'aiment pas forcément leurs enfants.

Après il faut faire avec.

Et puis l'admiration, c'est pas de l'amour... c'en est juste une petite partie.

Pas d'aide... ?
Mon père ne m'as jamais aider car il à toujours supposé que j'était autonome (et je le suis).
Belle illusion, mais tout de même, quel con !

Ma seule séquelle, je suis trop autonome... je ne demande pas d'aide si j'en ai besoin.
On as tous nos impédimentas (bagages qui entravent la marche d'une armée :-))

mam (60) répond Posté le 31-08-2009 à 16:47
Oui Quillou, je suis certaine de l'indifférence de mes parents, surtout celle de ma mère.
Jamais ils ne prennent de nouvelles ni de nous ni de leurs petits enfants, en plus, lorsque mon mari est tombé malade , ils ont mis 650kms entre nous, peut être de peur que je leur demande quelque chose, de l'aide psychologique .
Ils ont une très grande admiration pour mon frère qui cadre mieux au niveau réussite à tous les niveaux.
Alors tu sais , je ne rêve plus.
bonne journée

quillou répond Posté le 31-08-2009 à 01:04
mam es tu certaine que tes parents ne t'aiment pas, n'ont pas de considération pour toi? peut-être sont -ils maladroits et ne savent -ils pas te parler?
bonne nuit