En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intérêt. En savoir plus et gérer ces paramètres.
Les messages postés sur ce forum représentent l’opinion individuelle de Membres qui suivent la Méthode Montignac. Ils ne sont aucunement représentatifs de l’opinion de Sybille Montignac, ni des pratiques commerciales de la Méthode Montignac ou de la société ANXA.
Si vous avez souscrit à un abonnement et que vous avez une question concernant celui-ci, contactez-nous au 04 11 88 01 12.
|
par Sylviane (PESSAC, 33) | Posté le 05-02-2010 à 10:21 |
|
Il n'y a pas de honte à perdre ou à échouer. La honte, la seule qui puisse nous faire honte est d'être inférieur à nous-mêmes. (Alain AYACHE) C'est une honte ! Derrière cette formule impersonnelle se dissimule un sentiment rarement reconnu comme tel parce que travesti en d'autres sentiments comme la résignation, la confusion, la culpabilité... Mais après avoir lu le livre de Serge Tisseron, à côté des hontes paralysantes et déstructurantes, il existe des hontes positives et structurantes. Pour la psychanalyse, la honte est éprouvée au moment de l’Œdipe, lorsque l’enfant désire le parent du sexe opposé, et qu’il a honte de ce désir et de ne pouvoir rivaliser avec le parent du même sexe, qui est perçu comme supérieur à lui. La honte ressentie en étant adulte est lié à la projection d’instances parentales sur des personnages ou des institutions, une répétition donc de la honte éprouvée au sein de la famille en lien avec les imagos parentales. Selon Tisseron, l’enjeu de la honte est le risque d’exclusion. Sentiment complexe car la honte renvoie à des situations vécues comme honteuses, aux non dits, à des situations de violence (dont les secrets de famille). Une autre caractéristique est qu’elle est souvent accompagnée d’autres sentiments, comme la culpabilité, qui crée de la confusion (moyen de se défendre du risque de d'altération mentale lié au sentiment de la honte). Le sentiment de honte, personnelle ou familiale, vous connaissez ? |
||
Retour au forum
|
Sylviane (PESSAC, 33) répond | Posté le 10-03-2010 à 14:46 | ||
|
NINI : Annick est de bons conseils. Effectivement, tu n'es pas obligée d'acheter. Tu as tout ce dont tu as besoin sur le site :) Et il faut que tu commences à croire en toi !
|
||||
|
Annick répond | Posté le 09-03-2010 à 16:16 | ||
|
NINI, on ne t'oblige pas à acheter quoi que ce soit. Tu peux faire le régime avec des produits de la vie courante, en équivalence IG bien entendu. De plus si tu es coachée, tu as tous les renseignements que tu veux. Ne te décourage pas, et continue, tu es sur la bonne voie.
|
||||
|
nini (27) répond | Posté le 09-03-2010 à 13:06 | ||
|
b j r moi aussi j ai honte de moi de mon corps de mes rondeurs jusk a ma coupe de cheveux ratée par permanente brulée je me sens inferieure a tout vit le + possible en isolement j espere k ce regime sera le dernier & me stabilisera ce k je reproche a mr montignnac c est toujours l achat de kelke choses livres ou autre !!!! deja le regime fait 1 trou dans le budjet k il arrete de nous pousser a la vente kan on a 1 petit salaire
|
||||
|
|
Sylviane (PESSAC, 33) répond | Posté le 09-02-2010 à 18:12 | ||
|
MARIE : souvent le fait d'avoir manqué de reconnaissance enfant, fait qu'on ressent un vide cruel adulte. Même en ayant un compagnon et des enfants ne suffit pas toujours à combler ce manque originel. Et il n'y a rien qui pourra combler ce manque... Mais tu peux apprendre à vivre avec et à "sublimer" : c'est-à-dire faire des choses dont tu peux ensuite être fière et qui te combleront :) As-tu des passions ?
|
||||
|
Marie répond | Posté le 09-02-2010 à 09:26 | ||
|
oui. J'ai besoin excessif d'être aimée et j'ai parfois l'impression de "quémander" l'amour de mes sœurs ou amis par exemple.
Avec le temps, je me raisonne et je me sens moins écorchée vive mais c'est quand même là. |
||||
|
|
Sylviane (PESSAC, 33) répond | Posté le 08-02-2010 à 20:42 | ||
|
MARIE : as-tu souffert d'un manque affectif enfant ? Ou l'impression de ne pas avoir été aimé, ou considéré...
|
||||
|
|
Marie répond | Posté le 06-02-2010 à 17:14 | ||
|
Merci Sylviane pour ta réponse qui raisonne en moi.
Cela m'amène à réfléchir et à essayer de mettre des mots sur ce mal être et surtout sur le sens de mes comportements obsessionnels. Je vais y réfléchir...et essayer de trouver des débuts de réponse. Je sais déjà que dans mes compulsions alimentaires, il y a le besoin de remplir un vide mais dans mon obsession de mon poids, et de ma silhouette, je n'ai pas compris d'où ca vient ni le sens d'un tel comportement. |
||||
|
|
Sylviane (PESSAC, 33) répond | Posté le 06-02-2010 à 16:48 | ||
|
Oups... mon message est parti avant la fin...
Donc, je voulais aussi te dire que ton corps exprime à travers ces troubles du comportement une souffrance que tu n'arrives pas à mettre en mots. C'est en mettant du sens sur ces comportements que tu pourras aussi mettre des mots sur ton mal être et donc aller mieux :) |
||||
|
|
Sylviane (PESSAC, 33) répond | Posté le 06-02-2010 à 16:47 | ||
|
Au contraire, c'est très important.
Mais je souhaiterais éclaircir quelques chose : les troubles alimentaires sont une maladie. A ce titre, ça se soigne. Mais ça veut dire aussi que tu n'as pas choisi d'avoir ces troubles. Donc, la honte, elle est relative au regard que tu portes sur toi. Mais objectivement, tu n'as pas à avoir honte car tu es victime de ces troubles. |
||||
|
|
Marie répond | Posté le 05-02-2010 à 11:45 | ||
|
oui je connais lorsque je constate mon incapacité à avoir une relation normale avec la nourriture. Honte d'être parfois obnubilée par mon poids. Honte d'autres fois de ne pas réussir à me contrôler dans mes excès alimentaires.
La honte va souvent de paire avec un sentiment de culpabilité et de mépris de soir...j'ai honte et je m'en veux, consciente que tt cela est bien peu de chose par rapport aux choses importantes de la vie... |
||||
