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par zaza (14) | Posté le 17-05-2010 à 02:11 |
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Je me suis promenée pour vous, et pour chasser ma tristesse de ce jour j'ai noté tous les petits moments de bonheur volés au ciel gris et maussade, j'ai vu deux cygnes noirs au bec rouge deux bêtes magnifiques et gracieuses qui ont nagé vers moi et qui gémissaient comme de jeunes chiots, je n'avais jamais vu de cygnes noirs, BARBARA si! En reprenant ma marche je me suis arrêtée comme chaque fois devant le n° 3 , c'est une maison comme en imaginent les enfants nostalgiques, secrète et abandonnée, avec un perron de trois marches et de la glycine qui pendouille jusque par terre , des herbes comme du foin devant, une petite maison de maître comme on dit , trois grandes fenêtres au premier et deux au rez de chaussée qui flanquent la porte d'entrée. La grille est rouillée et fermée au cadenas, c'est toujours le même rêve de rester plus que de raison devant elle , une sorte de pause béate, un sursis. Et j'ai repris ma déambulation ,j'ai touché trois fois de la main en me dressant sur les pieds du lilas mauve et odorant débordant des vieux murs et je me suis dit que le nombre 3 me porterait chance pour le verdict demain concernant mon mari, enfin je suis rentrée et ce fut ce tout dernier petit bonheur en fin de cette promenade mi- figue mi-raisin , comme elle, à la fois dense et diffuse , le thé brun qui infuse dans le BUG importé par ma fille de son séjour made ENGLAND, il y a bien longtemps, thé odorant et qui va vous réchauffer, à la fois l'âme le coeur et le corps." Voil |
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marycar (87) répond | Posté le 02-02-2011 à 12:28 | ||
Je n'ai rien demandé, On m'a donné la douleur, la souffrance, l'heure comptée, la pendule, la haine et l'injustice, un langage pour mentir, des dents pour mordre et des poings pour frapper. Je vis! |
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christin (Béziers, 34) répond | Posté le 02-02-2011 à 09:18 | ||
Assise sur ce banc, j'attends. Quoi ? Je n'en sais rien moi-même ! |
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zaza (14) répond | Posté le 02-02-2011 à 03:10 | ||
vers la résolution... en haut la lumière... |
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nanou33 (BORDEAUX, 33) répond | Posté le 01-02-2011 à 16:48 | ||
Ondine ma belle ma douce, Qui ondule et ondoie, Je me penche sur cette cascade chantante, Tes yeux malicieux me dévisagent, Je me recule effarouchée, Des gouttes translucides viennent s’égarer sur mes pieds, Je m’approche à nouveau intriguée, Un poisson rouge s’approche et fait une bulle, Un moineau vient s’épouiller dans une pierre creuse, Il prend son bain, il est bien, Je me retire le plus doucement possible, Ne pas déranger ce coin de bonheur. |
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nanou33 (BORDEAUX, 33) répond | Posté le 01-02-2011 à 16:11 | ||
Et pendant ce temps continuons ce petit chemin, de toutes les manières possibles, de sable ou de cailloux, tortueux ou lisses selon les périodes de notre vie, parfois débouchant sur rien, retour case départ, on a le droit, parfois des abîmes au bout ou bien une montagne à grimper, ou bien s'élancer vers le ciel, qui peut le dire ? seul le cheminement compte, qu'il soit sur un chemin ou dans son coeur. Un petit chemin inattendu aussi |
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nanou33 (BORDEAUX, 33) répond | Posté le 01-02-2011 à 16:06 | ||
Se creuser la cervelle, Laisser tomber le mental, Un vrai casse tête ! |
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marycar (87) répond | Posté le 01-02-2011 à 10:11 | ||
Dans la gêne pas de plaisir, dans le plaisir pas de gêne! Quand ton plaisir me gêne et que que ma gêne te plait, tu es sadique. Quand ton plaisir me gêne et que ma gêne me plait, je suis maso. Quand ton plaisir me gêne et que mon plaisir te gêne, où est l'amour? Quand ta gêne me gêne et que ton plaisir me fait plaisir alors nous pouvons cheminer de concert jusqu'au bout de l'univers. |
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coco (80) répond | Posté le 31-01-2011 à 17:18 | ||
Souvenirs , souvenirs je me souviens.................. |
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coco (80) répond | Posté le 31-01-2011 à 17:12 | ||
Tu te souviens du pont qu'on traversait naguère pour passer la rivière tout prés de la maison le petit pont de bois qui ne tenait plus guerre que par un grand mystère et de piquets tout droit Nostalgie de mes souvenirs d'enfance |
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marycar (87) répond | Posté le 31-01-2011 à 13:20 | ||
Adolescence Déliquescence Des sens De l’enfance En partance Pour un futur Obscur. Y a un schisme Le psychisme, Les hormones, Tout détonne. Empli de bravache Un petit cœur en pleurs Masque ses peurs Avec panache. Le temps passe Et dans l'impasse Se ramasse. Ecoutera qui voudra Comprendra qui pourra Répondre, nul ne saura Mais simplement, accompagnera |
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