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par zaza (14) | Posté le 17-05-2010 à 02:11 |
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Je me suis promenée pour vous, et pour chasser ma tristesse de ce jour j'ai noté tous les petits moments de bonheur volés au ciel gris et maussade, j'ai vu deux cygnes noirs au bec rouge deux bêtes magnifiques et gracieuses qui ont nagé vers moi et qui gémissaient comme de jeunes chiots, je n'avais jamais vu de cygnes noirs, BARBARA si! En reprenant ma marche je me suis arrêtée comme chaque fois devant le n° 3 , c'est une maison comme en imaginent les enfants nostalgiques, secrète et abandonnée, avec un perron de trois marches et de la glycine qui pendouille jusque par terre , des herbes comme du foin devant, une petite maison de maître comme on dit , trois grandes fenêtres au premier et deux au rez de chaussée qui flanquent la porte d'entrée. La grille est rouillée et fermée au cadenas, c'est toujours le même rêve de rester plus que de raison devant elle , une sorte de pause béate, un sursis. Et j'ai repris ma déambulation ,j'ai touché trois fois de la main en me dressant sur les pieds du lilas mauve et odorant débordant des vieux murs et je me suis dit que le nombre 3 me porterait chance pour le verdict demain concernant mon mari, enfin je suis rentrée et ce fut ce tout dernier petit bonheur en fin de cette promenade mi- figue mi-raisin , comme elle, à la fois dense et diffuse , le thé brun qui infuse dans le BUG importé par ma fille de son séjour made ENGLAND, il y a bien longtemps, thé odorant et qui va vous réchauffer, à la fois l'âme le coeur et le corps." Voil |
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nanou33 (BORDEAUX, 33) répond | Posté le 21-11-2010 à 20:44 | ||
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Une porte qui s’ouvre
Une autre qui se ferme Une avec une serrure L’autre sans, à vous de deviner Une porte, des multitudes de portes En bois, en pierre, en béton, en carton, en verre, en rien du tout Un passage rien que de portes en enfilade Et puis l’autre côté Le vide ; le ciel ; un gouffre ; un jardin ; un retour en arrière … Difficile de préciser l’envers du décor L’important est ce vraiment la porte ? Ou l’effort mis pour s’affranchir de soi même ? Sur ces questions je m’en vais réfléchir un peu Bien qu’à y bien penser, pourquoi se compliquer l’existence ? |
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zaza (14) répond | Posté le 21-11-2010 à 20:18 | ||
un de nos portes magiques pour nous rappeller que les images doivent être la ponctuation de la ligne écriture et de symbole à toutes merci |
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christin (Béziers, 34) répond | Posté le 21-11-2010 à 11:48 | ||
Si un jour tu es en détresse, n'hésite pas à menvoyer un SOS, Ne laisse pas la maladie prendre le pas sur ta vie, Si aujourd'hui tes larmes sont salées, Demain elles te paraitront sucrées, Et avec toutes tes amies réunies, Nous fêterons ainsi ta nouvelle vie. |
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Samantha (Bruxelles, 10) répond | Posté le 20-11-2010 à 22:09 | ||
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L'été passé, nous avons pris la route pour le midi de la France.
Mon compgnon a tenu à me faire visiter les Baux de Provence. Jamais je n'oublierai cette journée. L'endroit est magique, je me sentais en dehors du temps, libre. Ce vent qui soulevait des milliers de petits gravillons qui me fouettaient les jambes. Ni ma robe rouge soulevée par le vent,ni mes cheveux en bataille ne m'importaient, plus rien n'existait à part cette sensation de liberté. Je voudrais y retourner l'été prochain. |
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Samantha (Bruxelles, 10) répond | Posté le 20-11-2010 à 22:02 | ||
Le rêve, la liberté |
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sylnath (75) répond | Posté le 20-11-2010 à 21:47 | ||
désir de mer, envie d'espace, rêve de vent , de vagues, d'écume, et d'embruns marcher le long de la déferlante....laisser s'effacer ses traces... |
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christin (Béziers, 34) répond | Posté le 20-11-2010 à 20:10 | ||
Des anges sont tombés du ciel pour illuminer ma vie Je contemple vos photos, les montre autour de moi Mes joies, mon bonheur, ma raison de vivre Mes petits enfants vous êtes mon rayon de soleil. |
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sylnath (75) répond | Posté le 20-11-2010 à 16:41 | ||
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gracyline (fourques, 30) répond | Posté le 19-11-2010 à 19:48 | ||
Enfant, on l’a disait rêveuse, ou encore la tête ailleurs Grandie, on l’a dit distraite ou parfois, la tête dans les nuages ! Les mots changent, le temps passe, mais elle reste la même. Gardant jalousement ce petit coin de paradis ou jardin secret qui n’appartient qu’à elle. Petite nostalgie dans un coin de sa tête, elle n’a qu’à lever les yeux pour s’y plonger à nouveau. Sombres ou clairs, grands ou petits, ils se forment et se transforment au grès de leur fantaisie. Nul ne les retiens, nul ne les maitrisent. Libres comme l’air, insaisissables, impalpables. Les yeux rivés vers le ciel, elle contemple ce spectacle qu’elle reçoit comme un cadeau. Petit moment de magie. Ces masses blanches s’avancent, se forment, se transforment et lui offrent leur poésie. Son esprit s’échappe !! Des formes plus prononcées jaillissent, se mêlent et s’entremêlent. La part de petite fille qu’elle croyait enfouie en elle, ressurgit. Les yeux rivés vers le ciel, elle aperçoit toute sorte d’animaux. Certains semblent réels comme sortis d’un tableau et d’autres plus fantasques. Mais déjà, ils s’éloignent pour faire place à d’autres rêves les uns plus beaux que les autres, et toujours à mille lieux… |
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gracyline (fourques, 30) répond | Posté le 19-11-2010 à 19:48 | ||
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suite...........
Petite parenthèse, volée au temps qui passe, bulle d’oxygène rien qu’à elle. Evasion ou moment d’intimité avec la petite fille qu’elle était et qu’elle pensait oubliée à jamais. Il suffit d’un nuage et la voilà déjà repartie en tête à tête avec la petite fille de jadis et qu’il me semble connaître. |
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