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par zaza (14) | Posté le 17-05-2010 à 02:11 |
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Je me suis promenée pour vous, et pour chasser ma tristesse de ce jour j'ai noté tous les petits moments de bonheur volés au ciel gris et maussade, j'ai vu deux cygnes noirs au bec rouge deux bêtes magnifiques et gracieuses qui ont nagé vers moi et qui gémissaient comme de jeunes chiots, je n'avais jamais vu de cygnes noirs, BARBARA si! En reprenant ma marche je me suis arrêtée comme chaque fois devant le n° 3 , c'est une maison comme en imaginent les enfants nostalgiques, secrète et abandonnée, avec un perron de trois marches et de la glycine qui pendouille jusque par terre , des herbes comme du foin devant, une petite maison de maître comme on dit , trois grandes fenêtres au premier et deux au rez de chaussée qui flanquent la porte d'entrée. La grille est rouillée et fermée au cadenas, c'est toujours le même rêve de rester plus que de raison devant elle , une sorte de pause béate, un sursis. Et j'ai repris ma déambulation ,j'ai touché trois fois de la main en me dressant sur les pieds du lilas mauve et odorant débordant des vieux murs et je me suis dit que le nombre 3 me porterait chance pour le verdict demain concernant mon mari, enfin je suis rentrée et ce fut ce tout dernier petit bonheur en fin de cette promenade mi- figue mi-raisin , comme elle, à la fois dense et diffuse , le thé brun qui infuse dans le BUG importé par ma fille de son séjour made ENGLAND, il y a bien longtemps, thé odorant et qui va vous réchauffer, à la fois l'âme le coeur et le corps." Voil |
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nanou33 (BORDEAUX, 33) répond | Posté le 27-11-2010 à 23:23 | ||
L’amour n’existe que par l’autre, L’égoïsme l’enferme, la jalousie le détruit, L’avarice le nie, l’habitude l’assèche. L’amour se nourrit du don de soi, Celui qui veut l’acheter ne récolte que du mépris. L’amour pressent la demande de l’aimé, il devance son désir, Il est une réponse réciproque. L’amour se vit dans l’alcôve secrète du cœur Où chacun s’offre à l’étreinte de l’autre, Aucun étranger, aucun curieux n’est invité aux noces. L’amour s’exprime à travers la complicité d’un regard, d’un geste, Il se formule dans le silence d’un baiser. L’amour s’unit à son opposé de même espèce Pour devenir son complémentaire, Dans une chair de feu, d’eau, de souffle et de tendresse. Fort comme la mort, il survole des abîmes, réconcilie les extrêmes. L’amour révèle le secret du bonheur Permettant la rencontre globale de tout l’être Dans une union où le présent communie avec l’éternité. L’amour ne pose pas de question, il est sa réponse, Il ne s’explique pas, il se vit dans l’ivresse de l’instant. L’amour n’a jamais fini d’être vécu. Il est infini et sans cesse renouvelé |
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christin (Béziers, 34) répond | Posté le 27-11-2010 à 18:21 | ||
On ne peut vivre sans cesse dans la course et le bruit, Savourons les petits bonheurs, Profitons de bons moments de détente, Délectons nous des instants de paix, Et accordons nous beaucoup de moments agréables. |
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NYMPHEA (72) répond | Posté le 27-11-2010 à 17:52 | ||
-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.LE PETIT BANC-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-. ***Sur le petit chemin,après avoir longtemps écouté les histoires que me racontait le vieux tronc moussu,j'ai marché,marché,les yeux perdus dans mes pensées.J'ai alors rencontré un banc!Oui,un banc,tout de bois fait et qui semblait m'attendre...Au moment de m'y reposer,j'avisai un morceau de papier tout froissé qui éclaboussait de blanc,l'allée sablée.Je le ramasse,le défroisse et qu'y découcris-je?Des vers!Oui,des vers...Ceux d'une Amie très chère...Pourquoi avait-elle froissé ce papier?...Me calant bien sur le dossier accueillant de mon banc bienveillant,j'ai lu...J'ai vu...J'ai relu...J'y ai trouvé de l'Amour,de la Fidélité,de la Simplicité...Ces vers,il y a longtemps que je les attendais!...J'ai remis,à l'abri de ma poche,ce papier défroissé.Je me suis laissée bercer par la rêverie...En silence,mon coeur entrait en communion avec le sien...Je garderai,ce morceau de vie,précieusement,dans ma boîte à souvenirs dorée et enrubannée...!*** |
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christin (Béziers, 34) répond | Posté le 27-11-2010 à 17:09 | ||
Le bonheur dit à la tristesse, Cesse de faire de l'ombre à la lumière. |
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christin (Béziers, 34) répond | Posté le 27-11-2010 à 14:53 | ||
Le 25/11 sur un texte sur une plume, j'avais mis cette photo. Y a-t-il un génie de l'informatique pour l'avoir remplacée par une balance ? |
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sylnath (75) répond | Posté le 27-11-2010 à 12:02 | ||
Il y a en novembre des Cendres sur la mer … Voltiger dans le ciel gris… Dispersées, éparpillées, mêlées, partout. Mer vagues vent falaise rochers, la vie pourtant… Faire cela comme un élan, un instinct, une certitude, un moment de l’ordre de la création Un « devenu » d’eux, le geste : une trace. Dans le mouvement de quelque chose de vivant, comme écrire avec la cendre sur l’écume une envolée, une mise au monde sur la mer verte de l’hiver Et la vague inlassable qui submerge, éclabousse, purifie. Accomplir un rite une cérémonie, seule et avec tout, elle a semé sur la mer sa mère en une promesse tenue. |
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Nickie (SAINT-NAZAIRE, 44) répond | Posté le 27-11-2010 à 11:27 | ||
Toi , Mon Amie - Une amitié est née - Au fil des semaines elle s'est épanouie - Jusqu'à devenir ce qu'elle est aujourd'hui - Vraie , réelle , sincère , profonde - Une amitié pour la vie - La réelle amitié d'une amie est sacrée - C'est une richesse , un merveilleux trésor - Aussi précieux qu'une vie et qu'il faut protéger - Sur ce petit chemin - Depuis longtemps je m'y promenais - Sans oser y déposer mes pensées - Et toi jamais encore ne t'y étais risquée - Je n'ai pas ton talent - Mais c'est tout simplement... - Qu'aujourd'ui je te dis.... JE T'AIME |
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zaza (14) répond | Posté le 27-11-2010 à 00:34 | ||
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... ( suite) que chacune préserve la qualité bienveillante de ce petit chemin
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zaza (14) répond | Posté le 27-11-2010 à 00:32 | ||
... continuer de dévider sa pelote et trainer son coeur derrière soi , sur des rails hors les rails , comme elles le peuvent , ainsi font toutes ces femmes courageuses et tendres que je rencontre sur le chemin de l'écoute , de toutes les écoutes , et se faisant les unes aux autres , s'acceptant , elles font qu'il se structure un lien comme un banc qu'on aurait mis là pour qu'elles se posent et se racontent, ensemble, ou diversement, une moment suspendu de grâce, hors temps , . Et voyez vous , en buvant ce grand thé chaud , derrière ma fenêtre, après ma promenade , je les vois là assises ces femmes et j'entends leur harmonie comme enchantée , toutes belles, toutes bienveillantes, ou s'y essayant et c'est là l'humanité, s'essayer à ... parce que toutes parfaites et imparfaites , mais s'essayant à ... Comme toi ô Rose ma petite bonne chérie qui ourlait tes torchons en me chantant de ta voix d'or " ce soir sous ma fenêtre chantait gentil rossignol" pendant que la maison hurlait du vide laissé par le chagrin de ma mère , et ton chant s'envolait loin par la fenêtre vres des contrées plus amènes ô Rose je pense encore à toi ! ainsi les femmes ont ce coeur là pour les petites filles, sachant que dans chaque femme il est une petite fille bléssée , forcemment ! ainsi gèrons nous notre blessure chacune à notre façon et quand un chemin propose sa ligne de conduite et préserve la confidentialité de chacune, il est bon comme vous le faites , que chacune préserve la qualit |
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sylnath (75) répond | Posté le 26-11-2010 à 20:05 | ||
parfois j'en ai plus qu'assez!! du gris, de la brume, de Paris!! de la pluie des fumées du monde, des téléphones qui sonnent du métro et de ses odeurs chaudes et étouffantes de la foule , des gens partout tout le temps, du bruit de la vitesse sans cesse, des cris des mots des appels des demandes de la Seine sombre et grise menaçante, des moteurs,des klaxons assourdissants et des camions qui livrent, de cette ville a la fois fascinante et repoussante, j'ai alors... des envies de fuite, de vert, de silence, de portes ouvertes, de fenêtres rousses, de forêts et de petit chemin......... |
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