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par zaza (14) | Posté le 17-05-2010 à 02:11 | |
Je me suis promenée pour vous, et pour chasser ma tristesse de ce jour j'ai noté tous les petits moments de bonheur volés au ciel gris et maussade, j'ai vu deux cygnes noirs au bec rouge deux bêtes magnifiques et gracieuses qui ont nagé vers moi et qui gémissaient comme de jeunes chiots, je n'avais jamais vu de cygnes noirs, BARBARA si! En reprenant ma marche je me suis arrêtée comme chaque fois devant le n° 3 , c'est une maison comme en imaginent les enfants nostalgiques, secrète et abandonnée, avec un perron de trois marches et de la glycine qui pendouille jusque par terre , des herbes comme du foin devant, une petite maison de maître comme on dit , trois grandes fenêtres au premier et deux au rez de chaussée qui flanquent la porte d'entrée. La grille est rouillée et fermée au cadenas, c'est toujours le même rêve de rester plus que de raison devant elle , une sorte de pause béate, un sursis. Et j'ai repris ma déambulation ,j'ai touché trois fois de la main en me dressant sur les pieds du lilas mauve et odorant débordant des vieux murs et je me suis dit que le nombre 3 me porterait chance pour le verdict demain concernant mon mari, enfin je suis rentrée et ce fut ce tout dernier petit bonheur en fin de cette promenade mi- figue mi-raisin , comme elle, à la fois dense et diffuse , le thé brun qui infuse dans le BUG importé par ma fille de son séjour made ENGLAND, il y a bien longtemps, thé odorant et qui va vous réchauffer, à la fois l'âme le coeur et le corps." Voil |
Geny (24) répond | Posté le 20-05-2010 à 14:05 | |||
impressionnée!! :-O
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nanou33 (BORDEAUX, 33) répond | Posté le 20-05-2010 à 11:26 | |||
suite Je pouffe seule (on me regarde de travers) M’estégal, je me trouve belle, une belle endormie C’est pour ça que je ris Ouf, l’humeur est bien meilleure |
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nanou33 (BORDEAUX, 33) répond | Posté le 20-05-2010 à 11:25 | |||
Et me voilà toutendormie
Les cheveux zébouriffés Le regard atone La démarche pezzzante Une vraie beauté ce matin Vite cad lentement Je me hâte vers le tram Qui me passe sous le nez Je cogite et m’agite Tourne dans ma tête Le moyen le plus rapide D’aller du point A vers le point B Je trépigne, souffle, râle, En veux à la terre entière Et oui pas très patiente la dadame Enfin v’là la chenille électrique Je m’engouffre à travers la porte coulissante Joue des coudes et m’impose Z’onqu’à se pousser un pneu les zautres Voyez comme je suis zaimable grognon et tout Mal levée, pas mon compte d’heures de ronron Je me laisse tomber sur un siège Et sans plus m’occuper du monde Je me lance dans le ravalement de ma façade ronde Et voui moi c’est comme ça ! D’abord le fond de teint Par petites touches Pas ressembler à Pierrot de la Lune J’attaque le fard à paupières Attention ça secoue tout d’un coup Je suspends mon geste Ö temps suspend ton vol … Je reprends Aujourd’hui se sera chocolat et rose pâle Puis mes cils qui s’allongent, s’allongent, s’allongent … J’en suis très fière Cabotine aussi je suis Enfin touche finale J’illumine mon sourire d’un peu de rose délicat Je suis satisfaite du résultat Il était temps J’arrive à destination Enfin en partie parce que hein ! Pour faire 9 km me faut prendre 2 trams et 1 bus Pas glop pas glop le trajet Bon bien que toujours zendormie C’est avé quelques couleurs en plus Je pouffe seule (on me regarde de |
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Padmée (78) répond | Posté le 19-05-2010 à 21:47 | |||
... Pour lui Dieu est partout. On ne peut pas le séparer des choses. Il est dans chaque être, dans chaque objet. Aucun évenement ne survient qui ne soit la marque de sa volonté. La grande erreur de tous les autres est d'avoir mis Dieu dans le ciel et de l'avoir sommé de ne plus en sortir. Un seul Dieu, c'est bien peu et de surcroit il est absent; on le retrouvera après la mort. Quelle misere ! ... Regarde leshommes se déchirer pour savoir si Dieu est encore dans l'hostie ou s'il n'est plus nulle part ... Ils l'ont chassé de sa création et voila qu'ils ergotent pour lui accorder encore une petite place. .. Tout est sacré pour les indiens : les fleurs, les rochers, les eaux qui courent dans la montagne. Une infinité d'esprits habitent et protègent les objets, les paysages et les êtres. on ne peut rien toucher qui ne délivre ces forces et limite le mal que l'on peut faire au monde.... Mais les autres..En dépouillant la nature du sacré ils l'ont laissé sans protection, soumise à la volonté meutrière des hommes. Ce n'est pas l'homme qui a été chassé du paradis terrestre, mais Dieu. Et l'homme s'est emparé de la création pour la détruire. Jean Christophe Rufin Rouge Brésil prix Goncourt 2001 |
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Padmée (78) répond | Posté le 19-05-2010 à 21:26 | |||
oups pas coupé la fin des commentaires de mon blog désolée c'est un extrait du livre appelé Lady Love d'un certain Homéric l'histoire d'un apprenti jockey qui tombe amoureux d'une jument dont il a la charge c'est très poétique a recommander
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Padmée (78) répond | Posté le 19-05-2010 à 21:24 | |||
Je déposais mes baisers sur son corps parfumé, me rapprochais de l'encolure, de sa tête levée que mes levres déchiffraient, collées sur sa joue, le coin de sa bouche, le rebord d'un naseau. Calé contre elle je me pelotonnais et me réchauffais à cette chaudière naturelle, glissais vers le front, embrassais les salières de ses yeux, le pli velouté de sa gorge, ses oreilles qui pivotaient aux accents de ma voix.
Dans la respiration de son coeur, je révais, lui promettait lune et litière d'étoiles, paradis d'herbes grasses trempées de gouttes de soleil, de boutons d'or, un vaste pré au sommet d'une colline joufflue comme son ventre avec, alentours, un océan de feuillus qui, au plus fort de l'été, se balencerait pour l'éventer et lui porter fraicheur et senteurs des sous-bois. j'imaginais des cavalcades sur son dos, quel pourrait être notre bonheur commun et, à l'approche de l'aube, tous deux, nous poussions un soupir. Lady Love Homéric08:42 | Ajouter au blog Commentaires Veuillez patienter...Le commentaire entré est trop long. Raccourcissez-le.Vous n'avez rien entré. Réessayez.Il est actuellement impossible d'ajouter votre commentaire. Réessayez plus tard.Pour ajouter un commentaire, tu dois avoir l'autorisation de tes parents. Demander l'autorisationTes parents ont désactivé les commentaires. Il est actuellement impossible de supprimer votre commentaire. Réessayez plus tard. Vous avez dépassé le nombre maximal de commentaires qu'il est possible d'envoyer le même |
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Padmée (78) répond | Posté le 19-05-2010 à 21:22 | |||
Typhèle
Le panache en éventail à la suite de sa croupe ronde comme un cèpe de Bordeaux, le ventre fauve et pelucheux, je la trouvais chaque matin allongée sur sa litière. Ses yeux cillaient sous l'ampoule. je m'approchais et rassemblait dans ma main son toupet de sauvageonne, lui caressait le front, l'encolure, le poitrail. Elle me reconnaissait, et depuis notre première rencontre, l'irresistible bienveillence qu'elle m'inspirait ne faisait qu'augmenter. On s'était plu tout de suite. Nous étions en confiance, comme un terrain connu, plongés l'un et l'autre dans un miroir de pure tranquillité. Cette grosse mémère à la robe baie, châtaigne, aux flancs pommelés, aux bonnes joues douces, aimait mes caresses. J'adorais la câliner, bécoter le velouté somptueux de ses naseaux qui me renvoyait une musique d'amourette, un flux et reflux de douceurs. Elle s'appelait Typhèle et devint mon bébé, ma gazelle. Dodue comme une figue mure, elle possédait un cul à la Rubens, vrai porche de cathédrale, lumineux et truité, plein, ample, chaudn qui fleurait bon le foin de Crau et la violette. Son poitrail solide, plissé-moulé, agreste, accueillait avec plaisir mes deux menottes qui, toujours, terminaient leurs attouchements dans l'étroit passage de velours qu'encadraient les deux antérieurs... Je déposais mes baisers sur son corps parfumé, me rapprochais de l'encolure, de sa tête levée que mes levres déchiffraient, collées sur sa joue, le coin de sa bouche, le rebord d'un naseau. C |
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nanou33 (BORDEAUX, 33) répond | Posté le 19-05-2010 à 13:43 | |||
Ça y est, il est r’viendu mon petit grillon
J’écoute la rythmique des ses crissements Aujourd’hui il c’est de la techno Hier c’était Mozart Demain une symphonie Rien que pour moi cette fois Fermez les yeux Concentrez vous bien Imaginez-vous derrière la baie translucide Il fait doux, c’est l’heure de la pause Le calme est revenu Ce petit canaillou en profite Pour faire du charme à madame grillon Ecoutez, tendez l’oreille Non ne tirez pas sur l’oreille Juste capter ces petits bruits C’est la vie bénéfique Celle qu’on affectionne Et qu’on partage |
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gracyline (fourques, 30) répond | Posté le 19-05-2010 à 11:09 | |||
Je t'ai longtemps cherché
Parfois rêvé! Au hasard d'une rue, A perte de vue. Le long de mon chemin, Je t'ai pris au creux de mes mains Je t'ai enfin trouvé! Toi mon aimé. Tu es dans mon coeur Pour mon plus grand bonheur. Maria G. |
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zaza (14) répond | Posté le 19-05-2010 à 08:47 | |||
c'est matin... un soleil prometteur de bonheur du jour...partir et revenir...des sourires à prendre et à donner... du bonheur à bouger... énergie vitale... amitiés à dorlotter.. thé qui infuse , son arôme, des kiwis dans les poches et des amandes , parée..pour la journée...ah !!mes clefs !!
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