En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intérêt. En savoir plus et gérer ces paramètres.
Les messages postés sur ce forum représentent l’opinion individuelle de Membres qui suivent la Méthode Montignac. Ils ne sont aucunement représentatifs de l’opinion de Sybille Montignac, ni des pratiques commerciales de la Méthode Montignac ou de la société ANXA.
Si vous avez souscrit à un abonnement et que vous avez une question concernant celui-ci, contactez-nous au 04 11 88 01 12.
|
par zaza (14) | Posté le 17-05-2010 à 02:11 |
|
Je me suis promenée pour vous, et pour chasser ma tristesse de ce jour j'ai noté tous les petits moments de bonheur volés au ciel gris et maussade, j'ai vu deux cygnes noirs au bec rouge deux bêtes magnifiques et gracieuses qui ont nagé vers moi et qui gémissaient comme de jeunes chiots, je n'avais jamais vu de cygnes noirs, BARBARA si! En reprenant ma marche je me suis arrêtée comme chaque fois devant le n° 3 , c'est une maison comme en imaginent les enfants nostalgiques, secrète et abandonnée, avec un perron de trois marches et de la glycine qui pendouille jusque par terre , des herbes comme du foin devant, une petite maison de maître comme on dit , trois grandes fenêtres au premier et deux au rez de chaussée qui flanquent la porte d'entrée. La grille est rouillée et fermée au cadenas, c'est toujours le même rêve de rester plus que de raison devant elle , une sorte de pause béate, un sursis. Et j'ai repris ma déambulation ,j'ai touché trois fois de la main en me dressant sur les pieds du lilas mauve et odorant débordant des vieux murs et je me suis dit que le nombre 3 me porterait chance pour le verdict demain concernant mon mari, enfin je suis rentrée et ce fut ce tout dernier petit bonheur en fin de cette promenade mi- figue mi-raisin , comme elle, à la fois dense et diffuse , le thé brun qui infuse dans le BUG importé par ma fille de son séjour made ENGLAND, il y a bien longtemps, thé odorant et qui va vous réchauffer, à la fois l'âme le coeur et le corps." Voil |
||
Retour au forum
|
zaza (14) répond | Posté le 09-09-2010 à 22:59 | ||
il y a des textes comme celui- ci dessous qui parle d'être grave et de miroir brisé, de texte qui résiste ou s'échappe, de femme en fragmentation comme un ordinateur, qu'on a envie de relire et relire , qi nous laisse pentoises et émerveillées, des textes d'une écriture si directe si spontanée qu'on ne peut d'une seule lecture tout appréhender, on a garde chacune un petit bout bien précieusement , une vision fragmentée de nous mêmes renvoyée en miroir , des textes comme çà ni trop courts ni trop longs qu'on avale comme un grand thé chaud après une promenade, ou même comme un bon verre d'eau ou de vin quand on a trop soif ou trop envie de lapider une angoisse et hop, le geste est rapide et comme on se sent bien mieux après ! |
||||
|
coco (80) répond | Posté le 09-09-2010 à 22:45 | ||
|
un petit chemin que j'emprunte tous jours pour aller à ma nouvelle maison le temps de penser et de réfléchir à ce que fut le journée :D
|
||||
|
nanou33 (BORDEAUX, 33) répond | Posté le 08-09-2010 à 22:22 | ||
Voilà ce soir j’avais envi d’être grave car mon esprit repensait à tous ces textes et à leur contenu. Cela me faisait penser à quelque chose et je m’apprêtais à l’envoyer, pfft, le texte s’est évaporé. Sans doute ne l’a-t-il pas trouvé à son goût et m’a fait comprendre par là que la vie doit continuer quoiqu’il arrive, que nos fêlures sont là pour nous rappeler que nous sommes des êtres vivants imparfaits et parfaits mais si jeunes qu’il nous faut tomber pour grandir. C’est sans doute ce qu’il a voulu me dire. Il pour moi n’a pas de nom car je ne peux dire qu’il s’agisse du hasard car je n’y crois pas, au hasard, mais alors qui y mettre ou quoi, chacun sa réponse. J’avais une représentation de moi à travers un miroir, brisé et recollé comme un puzzle. Chaque morceau me ramenant à quelque chose de loin et proche. Et bien voilà, je n’ai pas eu le temps de finir. Je vais donc de ce pas emprunter mon chemin, celui qui m’est familier et y retrouver moi-même, et tout ce que j’y ai apporté d’avant et tout ce que je vais trouver plus tard, peut être, et surtout y goûter le moment présent. |
||||
|
christin (Béziers, 34) répond | Posté le 08-09-2010 à 14:01 | ||
Les joies et les peines, "les compagnes d'une vie". Joies de voir grandir les enfants, les voir jouer, regarder plus tard les petits enfants courir dans les prés en jouant avec le chien. Les jours heureux en fait. Puis les peines, voir partir ceux qu'on aime, parents, amis, copains, copines. Atteindre le crépuscule de sa vie, heureux du bonheur vécu, mais conscient aussi des peines qui fatalement arriveront un jour. |
||||
|
|
zaza (14) répond | Posté le 07-09-2010 à 23:45 | ||
|
ah oui... le sourire d'un enfant qu'on écoute qu'on comprend qu'on console ... cette douceur là infinie
|
||||
|
|
zaza (14) répond | Posté le 07-09-2010 à 23:44 | ||
|
ah oui... le sourire d'un enfant qu'on écoute qu'on comprend qu'on console ... cette douceur là infinie
|
||||
|
|
christin (Béziers, 34) répond | Posté le 07-09-2010 à 16:46 | ||
Voici le petit chemin sur lequel j'ai eu toutes ces pensées. |
||||
|
|
christin (Béziers, 34) répond | Posté le 07-09-2010 à 16:43 | ||
|
Une petite promenade s'impose avec ce temps chaud et lourd et tout en marchant je me pose une question sur l'éducation d'un enfant.
Pour cela, d'abord il faut l'aimer. L'aimer c'est le voir tel qu'il est, l'écouter, s'efforcer de le comprendre. Etre présent, répondre à ses questions et aussi savoir comprendre ses silences. C'est également l'accompagner sur son chemin qui commence, lui apprendre à être et à aimer. Respecter la vie sous toutes ces formes, chercher à connaître son prochain plutôt que de vouloir le dominer Ainsi il deviendra un adulte bien équilibré. |
||||
|
|
zaza (14) répond | Posté le 07-09-2010 à 01:44 | ||
c'est bon de revoir un chemin simple et verdoyant commme ceui ci dessous,notre symbole de ligne ,qui nous ramène vers notre chemin initial, intérieur, une fois que nous nous sommes régalées de vos émotions colorées devant les beautés de paysages que vous nous avez fait partager avec tant de bonheur et de talent , tout au bout de vos chemins et de vos diverses promenades. je poste notre chemin des calvaires où faire des pauses, ou des haltes pour faire le point seules chaque fois sans tristesse mais avec réflexion sur notre parcours et nous retrouver en face de nous mêmes avant de partager de nouveau nos joies et nos peines ou simplement des petits moments de bonheur , de ceux qui nous font la vie douce mme quand elle ne l'est pas particulièrement, un thé ah oui un thé fumant, un sourire, ah oui un sourire , un bonjour...ah oui |
||||
|
|
christin (Béziers, 34) répond | Posté le 06-09-2010 à 14:26 | ||
Et ensuite réponse à une amie qui écrit de trés belles choses. En te lisant j'ai revécu exactement le même parcours, mais avec toujours cette hantise des jours qui passent. Des enfants qui s'en vont, des petits enfants qui grandissent et choisissent des directions différentes, "toujours à l'écoute", mais quelquefois leurs choix me paraissent trop idéalistes, trop utopiques, d'où mon inquiétude. C'est le raison pour laquelle la maison est remplie d'animaux depuis leur départ, mais au moins avec eux, pas de surprise, beaucoup de tendresse et d'amour et nous vivons heureux. La vie fera le reste. |
||||
