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Les messages postés sur ce forum représentent l’opinion individuelle de Membres qui suivent la Méthode Montignac. Ils ne sont aucunement représentatifs de l’opinion de Sybille Montignac, ni des pratiques commerciales de la Méthode Montignac ou de la société ANXA.
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par Sylviane (PESSAC, 33) | Posté le 11-08-2009 à 07:29 |
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Cette influence est considérable ! Admettons que notre personnalité soit une maison. Toute maison, pour conserver sa solidité à travers les âges, a besoin de fondations solides. Ces fondations correspondent à toute la période de l'enfance. Si cette période est marquée par des évènements traumatisants, cela va se répercuter sur les fondations qui ne vont pas être aussi solides qu'elles auraient dû l’être. Ainsi, en construisant les murs (l'adolescence puis la vie adulte), il peut se présenter à l'occasion de secousses (nouveaux évènements traumatisants) des fissures visibles ! Et cela peut s'inscrire sur nos comportements ou sur notre corps. Afin de consolider ces fissures, il faut "réparer" les fondations. C'est le travail thérapeutique ! Nos choix alimentaires sont aussi liés à notre passé dans les mêmes conditions : si un aliment a été consommé la première fois dans un climat convivial, chaleureux et aimant, il conservera pour toujours la même connotation. L'inverse est également vrai. Si nous sommes attirés par les aliments sucrés à la moindre contrariété, c'est aussi parce que, en général, dans notre enfance, chaque fois qu'on avait un petit bobo, on nous faisait un gâteau pour nous consoler. Ou si nous avions été sages, nous avions droit à une sucrerie... Sylviane LIBERGE www.consultations-psychologue.com |
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fredérique (Bergerac, 24) répond | Posté le 19-08-2009 à 22:19 | ||
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Annick,
Malgré tous les sentiments contradictoires que l'on peut avoir envers sa Maman, ce sera toujours la seule.... Quelle tristesse d'imaginer la perdre!! Courage, et surtout, pense aussi à toi en t'adressant à des professionnels qui peuvent te relayer auprès d'elle , ou te soutenir au quotidien. Bises et bonne nuit. |
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Annick répond | Posté le 19-08-2009 à 21:20 | ||
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Ma mère est sortie de l'hôpital, après une sorte de coma diabétique. Elle va mieux et ils n'ont pas voulu la garder en observations. Quelle angoisse pour cette nuit ! Elle est toute seule dans son appartement. J'ai craint le pire, mais elle est là vivante. J'ai voulu hurler de douleur, et maintenant c'est de soulagement que je voudrais crier.
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laurent (lyon, 69) répond | Posté le 19-08-2009 à 19:48 | ||
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Je me rappel d'une phrase qui m'as marqué aux débuts de mon analyse :
"je suis ce que je fait de ce qu'on à fait de moi". _________________________________ - exiger trop de soi - se juger moche - se croire incapable - vouloir tout de suite - maîtriser une méthode à 100 % sous peine de tout lâcher - torturer les autres avec nos malheurs - ne pas s'autoriser à se faire plaisir - et pleins d'autres - ne se pardonner aucune faiblesse - renoncer à se sentir bien Tout ça sont des traces de notre histoire... ... on est pas obligé de les écouter non plus. |
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liline (16) répond | Posté le 19-08-2009 à 14:35 | ||
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liline,est-il possible que malgrer une enfance douleureuse,cela nous empeche t'il de maigrir ou de faire le régime montignac si le subconsient ne veux pas.
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Sylviane (PESSAC, 33) répond | Posté le 19-08-2009 à 14:01 | ||
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ELIDO : il n'y a pas de parents modèles (bien que certains soient convaincu de l'avoir été...). Nous commettons tous des erreurs. Mais si nous aimons nos enfants, que nous sommes capables de nous remettre en question et de rester à leur écoute, alors je pense qu'on s'en sort pas trop mal. Et puis, en n'étant pas parfait, on laisse la possibilité à nos enfants de faire mieux que nous :)
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Sylviane (PESSAC, 33) répond | Posté le 19-08-2009 à 13:58 | ||
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LAURENT : la colère peut être un moteur pour avancer et prendre son indépendance. Mais chaque chose à son revers... Et la colère peut être destructrice si on s'y complaît...
Mais tu as particulièrement raison sur un point : on ne changera jamais ce que sont les gens. Par contre, en essayant de comprendre pourquoi ils sont ainsi, on peut davantage lâcher prise et les accepter, en prenant ce qu'ils peuvent nous apporter et en laissant le reste. Autre chose que j'ai beaucoup aimé dans ce que tu as dit, et ça me fait plaisir parce que je choque aussi quand je le dis... Ce n'est pas parce que nous partageons le même sang que l'amour l'est aussi. Et plus le temps passe, plus les personnalités s'affirment, plus les distances peuvent se marquer. Ainsi va la vie ! |
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Sylviane (PESSAC, 33) répond | Posté le 19-08-2009 à 13:54 | ||
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MAM : tu arriveras toi aussi à te libérer de se poids qui t'oppresse. Chaque chose en son temps. Les mots viendront quand tu n'auras plus peur de les entendre ou de les lire.
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Sylviane (PESSAC, 33) répond | Posté le 19-08-2009 à 13:53 | ||
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FREDERIQUE : je te conseille la même lecture qu'à ANNICK :)
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Sylviane (PESSAC, 33) répond | Posté le 19-08-2009 à 13:52 | ||
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ANNICK : à sa façon, ta maman t'aime mais elle ne sait peut-être plus te le montrer. C'est parfois difficile les relations mères / filles. Quelles étaient d'ailleurs les relations de ta mère avec sa propre mère ?
Par ailleurs, je te conseille une lecture : le livre de Aldo NAOURI "Les filles et leurs mères". Ca t'aidera peut-être à mieux comprendre ce qui se joue entre toi et elle et surtout à te déculpabiliser et à profiter d'elle autant que tu le peux encore :) |
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Sylviane (PESSAC, 33) répond | Posté le 19-08-2009 à 13:49 | ||
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MATHEA : c'est quoi cette histoire d'hyperinsulinémie ?
Par contre, tu as fais une remarque qui me semble importante par rapport à ce qu'on te donnait quand tu étais petite... Quels étaient tes rapports avec tes parents, ta famille ? |
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