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Forum Montignac

Moral, motivation et méthode Montignac

un petit chemin de campagne secret pour noter vos petits bonheurs, vos nostalgies, vos tristesses,

Les messages postés sur ce forum représentent l’opinion individuelle de Membres qui suivent la Méthode Montignac. Ils ne sont aucunement représentatifs de l’opinion de Sybille Montignac, ni des pratiques commerciales de la Méthode Montignac ou de la société ANXA.
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par zaza (14) Posté le 17-05-2010 à 02:11

Je me suis promenée pour vous, et pour chasser ma tristesse de ce jour j'ai noté tous les petits moments de bonheur volés au ciel gris et maussade,
j'ai vu deux cygnes noirs au bec rouge deux bêtes magnifiques et gracieuses qui ont nagé vers moi et qui gémissaient comme de jeunes chiots, je n'avais jamais vu de cygnes noirs, BARBARA si!
En reprenant ma marche je me suis arrêtée comme chaque fois devant le n° 3 , c'est une maison comme en imaginent les enfants nostalgiques, secrète et abandonnée, avec un perron de trois marches et de la glycine qui pendouille jusque par terre , des herbes comme du foin devant,
une petite maison de maître comme on dit , trois grandes fenêtres au premier
et deux au rez de chaussée qui flanquent la porte d'entrée.
La grille est rouillée et fermée au cadenas, c'est toujours le même rêve de rester plus que de raison devant elle , une sorte de pause béate, un sursis. Et j'ai repris ma déambulation ,j'ai touché trois fois de la main en me dressant sur les pieds du lilas mauve et odorant débordant des vieux murs et je me suis dit que le nombre 3 me porterait chance pour le verdict demain concernant mon mari, enfin je suis rentrée et ce fut ce tout dernier petit bonheur en fin de cette promenade mi- figue mi-raisin , comme elle, à la fois dense et diffuse , le thé brun qui infuse dans le BUG importé par ma fille de son séjour made ENGLAND, il y a bien longtemps, thé odorant et qui va vous réchauffer, à la fois l'âme le coeur et le corps."
Voil
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Toutes les réponses à ce message :

zaza (14) répond Posté le 24-08-2010 à 00:42

Un rapide coup d'oeil et que de plaisir à toutes vous lire, remettre à demain le temps à prendre , précieux et nécéssaire pour ne rien manquer de vos émotions , déposées avec délicatesse talent et respect, émotions diverses qui nous enrichissent toutes, et ce chemin moussu que j'ai capté un jour sur l'une de vous me parait résumer ce soir la douceur de marcher de nouveau en votre compagnie . Je serai bien aise de vous lire encore et de puiser ici l'énergie et la concentration qui vont m'être nécessaires pour reprendre une rentrée professionnelle houleuse et bruyante , et une rigueur toujours bienveillante mais un peu relâchée en ce qui concerne ma détermination à continuer à ne pas laisser "mauvaise nourriture et mauvaise pitance " gâcher santé et un brin d'élégance chèrement acquises depuis QUINZE semaines. A bientôt

christin (Béziers, 34) répond Posté le 23-08-2010 à 13:56

Aujourd'hui promenade dans le petit chemin avec souvenirs de ma grand'mère.

Elle avait un parfum génial retrouvé sur aucune autre personne.
Elle nous apportait son amour, ses conseils et était toujours à notre écoute.
Elle nous racontait des histoires drôles, mais aussi moins drôles lorsqu'elle abordait la "guerre" et là nous étions passionnés, fascinés lui posant des questions et l'on en redemandait, elle était intarissable sur ce vécu à elle toute jeune.
C'est dommage que nos grands mères nous quittent si vite ...

gracyline (fourques, 30) répond Posté le 22-08-2010 à 23:10
Suite....

Plus tard, inopinément, elle est revenue. Moins violente heureusement, mais la peur grandissait. Et si elle surgissait alors que je conduisais ? Seule ou pire, avec les enfants dans la voiture ?
Que de questions et de peur de ce mal qui nous prend sans crier gare. Cette idée me hantait. Puis j’ai appris, à la voir venir et patiemment apprivoisée.
Respirer lentement, malgré la douleur, malgré la peur, penser que tout va bien alors que le cœur bat la chamade.
Ne penser à rien, surtout pas la douleur, penser au bonheur et s’y accrocher.
Elle s’en va. La vie reprend.

gracyline (fourques, 30) répond Posté le 22-08-2010 à 23:09
Une maman qui s'inquiète pour son enfant, patiente et aimante.
Elle sera là, présence discrète pour panser les blessures.
Cette histoire me rappelle d'autres blessures.....

Surgie sans crier gare alors que téléphonais. Au milieu d’une conversation banale, elle m’a envahie. Ma cousine me félicitait et me rappelait combien elle était heureuse d’avoir une fille.
Subitement oppressée, je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Brusquement, j’ai raccroché. Juste le temps de me hisser jusqu’à mon lit.

Mon souffle subitement coupé, ne pouvant plus parler. Je restais là, bloquée.
La douleur puissante, m'étouffait. Je ne pouvais plus respirer.
Cette douleur me foudroyait et me comprimait le cœur.
Une éternité, à mes yeux, quelques secondes en réalité.
Je voyais ma dernière heure arrivée.
Tout s'effaçait, je sentais que je partais.
Je n’arrivais pas à crier. Ma bouche restait muette malgré mes efforts. J’étais pétrifiée et seule.
Puis l'infirmier est arrivé, et rapidement m’a soulagée.
Je pouvais, alors abandonner, ne plus avoir à lutter. Le calme revenu, je respirais à nouveau. Ce jour là, je n’ai pas compris.
La première crise était venue alors que je venais de donner la vie pour la troisième fois.
Pourquoi, ce moment précis pour s’immiscer dans ma vie ? Tel un voleur.



christin (Béziers, 34) répond Posté le 22-08-2010 à 21:26
Excusez-moi pour les fautes de frappe mais les mots écrits m'avaient quelque peu émue.

christin (Béziers, 34) répond Posté le 22-08-2010 à 14:07

Illustration des mots cités plus bas.

christin (Béziers, 34) répond Posté le 22-08-2010 à 14:06
Queques mot à quelqu'un qui a traversé de durs moments récents avec beaucoup de courage, sans se plaindre.
Sur moi, ta maman tu pourras toujours compter, et toujours te fier.
Mon coeur est à toi pour les bons et les mauvais moments.
Jamais je ne te laisserai tomber et cela tu le sais.
Je suis ton ange gardien et j'espère rester à la hauteur jusqu'à mon dernier jour.

christin (Béziers, 34) répond Posté le 21-08-2010 à 14:23

Une petite histoire originale et véridique.
Avec mon sens de la liberté, j'ai rencontré une "amie" alors que je venais de m'asseoir sur un banc , seule comme une vagabonde, dans un sentier tout fleuri, alors moi l'errante j'ai dit au temps, prenons notre temps, puis j'ai posé là mon baluchon.
Il est vrai que j'avais repéré quelque chose, vous ne devinerez jamais quoi. Si je peux parler d'amitié , c'était une fleur, une orchidée blanche en bouton, un vrai bonheur, raffinée et élégante.
Pourquoi était-t-elle là cette jolie petite fleur. Seul le langage des fleurs pourrait me le dire.

gracyline (fourques, 30) répond Posté le 20-08-2010 à 23:14

L'égoisme,
On pourrait presque dire la maladie du siècle dans notre monde de consommation où posséder devient plus important que l'être.
Société du paraître au dépit de l'être, la tendance s'accélère et c'est chacun pour soi.
Voilà un terrain propice à son développement si on n'y prendre garde.
Gangrène qui consumme l'être à son insu. Mal surnois et ravageur qui fait le vide autour de lui.
La personne atteinte est une insatisfaite de nature, voulant toujours plus. Son égo est au centre de toutes ses préoccupations.
Ce trait de caractère, s'il n'est guéri à temps, conduit souvent à la solitude.
Cependant un espoir, c'est une maladie qui n'est pas irréversible.
L'égoïste peut, dans un sursaut de lucidité, enlever ce bandeau qui lui brouille la vue et l'esprit.
Regarder autour de lui et changer son centre de gravité. Il n'est plus, alors, le centre du cercle ou il s'était enfermé.
Se tourner vers les autres, ne plus se replier sur soi.
Le bonheur ou malheur de l'autre ne lui sont plus indifférents.
Il n'est plus au dessus, ni à côté des autres, mais se confond avec eux et son humanité rejailli.
Le pari n'est pas gagné, mais il est sur la voie de la guérison.
Se donner sans compter, sans arrière-pensée. Voilà peut-être l'antidote au mal du siècle.




christin (Béziers, 34) répond Posté le 20-08-2010 à 16:05

J'ai rencontré il y a quelques années quelqu'un de trés égoiste.
L'égoisme fait partie de ce qu'on appelle un défaut dans la manière de se comporter.
L'égoisme est un amour exagéré pour soi-même, au point qu'il n'y a pas de place pour un autre.
C'est un égocentrique qui ne se soucie de personne et organise sa vie pour ne pas être dérangé.
En fait l'égoiste est un narcissique, il ne voit que lui.
Il a une admiration de lui et une attention exclusive portée à lui-même.