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Forum Montignac

Psychologue Montignac

Poids et psychisme

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par Sylviane (PESSAC, 33) Posté le 11-08-2009 à 07:21

L'influence du mental sur le poids... Certaines maigrissent et d'autres grossissent lorsque le moral est en baisse.... même avec une alimentation semblable !!!

En fait, tout dépend de notre caractère au départ. La question est comment réagissons-nous face aux contrariétés ? Certaines vont manger (sans même parfois sans rendre compte), entraînant une prise de poids plus ou moins importante, alors que d'autres vont se replier sur elles-mêmes et oublier de s'alimenter (mais ça ne veut pas dire qu'elles vont maigrir pour autant... tout dépend du poids des soucis !).
Le moral est effectivement un facteur extrêmement important dans l'évolution du poids. Lorsqu'on est contrarié, ou que l'on a des difficultés, vont revenir à la surface de notre conscient (ou au moins à celle de notre subconscient) toutes les difficultés antérieures. Plus le temps passe, plus ce "poids" devient lourd et difficile à supporter. Inconsciemment, certaines marquent le poids de ces souffrances sur le corps. Elles les rendent ainsi visibles !!!

C'est aussi pourquoi il faut alléger le « sac à émotions » si vous souhaitez réussir votre régime.
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Toutes les réponses à ce message :

Elido ( , 31) répond Posté le 28-09-2009 à 09:54
Mam, ne craque pas maintenant. Ton mari est surpris que tu te révoltes et va te faire un maxi chantage pendant plusieurs jours ou semaines. Il doit être furieux de constater que tu lui échappes moralement.
Tu viens d'écrire quelque chose de très important : prévoir de recommencer à travailler. Regagner son indépendance matérielle permet beaucoup de solutions. J'admire ta force de caractère et le courage dont tu fais preuve d'envisager de tout recommencer. D'autre part, ce peut être un excellent dérivatif : celui de voir du monde et de ne pas rester enfermée dans une atmosphère pénible.
Tu sais qu'en prenant cette décision il y aura des moments très durs. Mais tu as la force de les assumer.
Je t'embrasse.

mam (60) répond Posté le 28-09-2009 à 01:39
Alors c'est vrai, son chantage, je le vis très mal, mais devant sa colère et ses cris,je lui ai dit que si il reproduisait la même chose que lors de sa 1ère greffe,si il ne me tenait pas au courant de ses décisions,(je suis tout à fait d'accord avec le fait qu'il prenne du recul et son temps pour réagir et se décider),je me comporterai de la même façon et je partirai sans prévenir,je suis tout à fait capable de travailler,je sais que mes diplomes ne valent plus rien,mais même si je dois refaire une formation pour travailler auprès de personnes âgées, je le ferai.
Bien sûr ça n'a pas plu et depuis, la vie est encore plus difficile, car il s'énerve pour un steack pas assez cuit à son goût ou autre broutille.
Voilà où en est la situation aujourd'hui.
Je ne sais plus que faire,car je suis en train de payer mon élan de révolte alors que j'estime juste être en droit de ne pas être toujours la dernière informée, avec mes enfants bien sûr parce qu'il nous met tous au même niveau et je dois faire tampon.
Je suis complétement désarmée et je ne sais plus quelle conduite je dois adopter ?
Voilà Sylviane, excusez moi encore d'avoir été longue.
Je vous remercie ainsi que toutes et tous de votre soutien, il m'aide beaucoup à essayer de résister...

mam (60) répond Posté le 28-09-2009 à 01:24
Sylviane,l'effet du chantage me démolit complétement,un nouveau palier a été dépassé.Je vis très mal la situation car lorsque nous sommes rentrés après la consultation,sa décision était sans appel,et clairement ennoncé par lui au chirurgien.De toute façon j'ai toujours respecté son choix estimant que personne n'a le droit de disposer ni de la vie, ni du corps ou de l'esprit d'un autre.
Par contre vendredi aprem il a appelé sa mère et lui a annoncé que pour l'instant il réfléchissait.Alors,c'est vrai,j'ai très mal réagi,c'est difficile de toujours tout apprendre après les autres.Lorsqu'il a décidé de se faire greffé en janvier 2008,je l'ai appris en même temps que le néphrologue et ça a été très difficile à vivre,j'avais vraiment l'impression d'être une étrangère,surtout que le néphrologue me pensant au courant m'a demandé de suite si je voulais donner un rein,il a fallut que je prenne ma décision sur 3 secondes,j'avais l'impression que le sol se dérobait sous moi.Et là j'ai la mauvaise sensation que tout va se repasser de la même façon,je serai encore la dernière à être au courant et je le vis très mal.Donc je lui ai fait remarqué son changement de décision sans m'en avoir parlé et là il s'est mis en colère en me disant qu'il avait le droit de changer d'avis,que je n'étais pas concernée et n'avait rien à y voir!!
Alors qui suis je?
Ca fait 16 ans que je vis au rythme de sa maladie 12 au rythme de ses dialyses à le soutenir du mieux que je peux.
Alors c'est vrai son chant

mam (60) répond Posté le 28-09-2009 à 00:55
Tu ne me choques pas Elido.Mes 3 enfants sont atteints de la même maladie et sous surveillance depuis déjà 8 ans.
Pour ce qui est de donner un rein, c'est justement ce que j'avais dit au chirurgien lors du premier entretien, je ne souhaitais pas donner un rein à mon mari parce que pour moi il était évident que mes enfants étaient prioritaires, ils ont leur vie devant eux, pas mon mari.Ce à quoi le chirurgien m'avait répondu que lorsque mes enfants aurait besoin d'une greffe, je ne pourrai plus donner , on ne greffe pas un rein de donneur âgé sur un receveur jeune.Et qu'en plus, quel enfant je choisirai comme receveur? C'est vrai que malgré ce qu'il m'avait dis, même si il avait raison, je suis restée sur ma position, mes reins,pour moi,ne peuvent servir qu'à mes enfants.
La seule personne a avoir été de mon avis ça a été ma belle mère pour la raison que tu invoques.Sa réaction a été de me dire, mais qui va s'occuper de D. si tu est opérée aussi, il a besoin de toi, il est pas là pour te soigner alors qu'il ne va pas bien.
Donc tu vois la mère pense comme le fils et vice versa.
Je ne savais pas à l'époque que sa première greffe, donnée comme impossible d'échec vu son état de santé allait si mal se passer,mais le greffon était de mauvaise qualité et ça personne ne pouvait le prévoir, même pas le chirurgien .
Je te remercie beaucoup pour ton message, il n'était pas brutal mais juste et nous avons la même vue de la maman.
Bises à toi

Sylviane (PESSAC, 33) répond Posté le 27-09-2009 à 20:45
MAM : autant tu es en droit de disposer de ton corps, autant il en va de même pour ton mari. Mais qu'il te prenne pour sa bonne, histoire de t'asservir encore plus (et le chantage en est un bel exemple)... c'est une autre histoire. S'il ne veut pas de la greffe, c'est son droit. Mais il n'a pas le droit de t'imposer les conséquences de son choix.
Et toi, ce chantage, quel effet a-t-il sur toi ?

bonbon (80) répond Posté le 27-09-2009 à 15:49
mam bisous
si ton mari veut tout laisser tomber
laisse le comme ca tu gardes ton rein et lui son mauvais caractere
personne ne peut decider à ta place ni à celle de ton mari
si il a decide de ne pas de se refaire operer laisse le en lui disant de ne pas de gacher la vie encore plus
les hommes sont mechants qsd ils souffrent (pardon laurent) car ils pensent que personne ne les comprend, mais te gacher la vie à se point , ya pas de mots
continue à nous parler
ya longtemps que tu le supportes mais il va te falloir encore du courage pour la suite
decidement tu cumules bises

Elido ( , 31) répond Posté le 26-09-2009 à 17:32
Mam, bonjour à toi. Malgré une assez longue absence sur le forum, j'ai relu tout ce que tu avais écrit.
Je peux te dire une simple chose : mon compagnon, ancien médecin, a fait des bonds jusqu'au plafond lorsque je lui ai parlé de la demande du chirurgien de ton mari.
Tu as dit un jour que tes enfants pouvaient avoir le même problème. En tant que femme et que mère, ne crois-tu pas que si tu devais donner un rein ce serait plutôt à eux ? Ce n'est pas un choix qu'on peut faire à la légère, ton intégrité physique est aussi mise en jeu dans ce cas là. Ton mari en vaut-il la peine ? PERSONNE n'a le droit de te montrer du doigt parce que tu refuserais.
Tu culpabilises parce que tu as toujours vécu sous la coupe de cet homme qui se complait à t'écraser, et qui ne cessera pas de te dire des horreurs si tu refuses. Mais refuser est TON DROIT le plus strict. Et ne me parle pas de non assistance à personne en danger, celà n'a rien à voir avec le cas présent.
Car si cette greffe éventuelle se passe et rate, vous serez deux handicapés pour aucun résultat. Et ton mari ne pourra plus autant se reposer sur toi ! A-t'il un peu réfléchi à celà ???
Pardonne moi cette brutalité de langage, je ne veux SURTOUT pas te peiner. En écrivant ces quelques lignes, je tremble de colère de constater jusqu'à quel point un être humain peut en opprimer un autre, au nom de son seul bien-être.
Dans un autre post tu te demandais s'il te préterait SA voiture. Et bien ici nous parlons de TON CORPS !!!
J

nymphea21 (21) répond Posté le 26-09-2009 à 15:29
mais non mam tu ne me déçois pas, car je sais combien il est difficile de prendre certaines décisions dans la vie. On ne fait pas ou ne peut pas faire toujours ce qu'on aimerait. Les yeux et écoutes extérieurs sont bien mais qques fois embrouillantes à la fois, et c'est sûrement ce qui t'arrive, alors pose toi, prend le temps de réfléchir calmement et fait ce que bon te semble pour ton mieux
tu restes dans mes pensées
bon WE et à +

quillou répond Posté le 26-09-2009 à 12:59
tu ne nous déçois pas!
crois tu qu'il ne soit jamais arrvié à certains ou certaines d'ente nous de se sentir dépassé par tout ce qui s'embrouille dans notre tête (ton crâne d'oiseau comme disait papa lorsqu'il riait de moi gentiment)

plein de bises

BETTYDUF (valence, 26) répond Posté le 26-09-2009 à 12:11
Mam; ce n'es pas de la deception que l'on ressent, tu ne me deçois pas mais il y a des moment dans la vie ou il se passe trop de chose a la fois et on est pas des surhommes. pour le moment, j'aimerais te dire, examine qu'une chose a la fois mais tu ne peux pas, tout t'arrive en même temps, alors si tu as besoin de parler, n'hesite pas, le fait d'ecrire les choses permet des fois de mieux les assimiler.
je te fait un gros bisous et je pense a toi.